La réponse tient en un mot : nécessité. Cette plante robuste pousse là où d’autres cultures échouent, offrant une source fiable de calories quand tout manque. Peu coûteux, nutritif et se conservant longtemps, il constitue souvent le dernier rempart contre la famine.
Au Venezuela par exemple, frappé par de sévères crises, le manioc s’est imposé comme aliment de base. Mais cette dépendance comporte des risques majeurs si les techniques traditionnelles de préparation ne sont pas respectées.
Les secrets d’une consommation sans danger






