Le relâchement musculaire nocturne.
Pendant le sommeil, les muscles perdent leur tonicité. Les tissus autour de la jugulaire ne la maintiennent plus avec la même fermeté qu’en état d’éveil. La veine gagne alors en liberté de mouvement. Elle répond plus rapidement aux variations de pression. Ce relâchement peut révéler un problème latent qui se manifeste uniquement la nuit.
Les variations respiratoires.
La respiration influence fortement les veines du cou. Certains respirent plus profondément la nuit. D’autres subissent des micro-apnées ou un ronflement prolongé. Ces phénomènes modifient la pression intrathoracique. Le sang reflue plus ou moins intensément selon le cycle respiratoire. Une pression élevée dans la poitrine peut remonter vers la jugulaire et provoquer sa dilatation. Chez certaines personnes, ce mécanisme se répète chaque nuit.
La congestion veineuse.






