Dans un second temps, les chercheurs ont tenté une expérience étonnante : ils ont effectué une transplantation fécale (oui, littéralement) entre souris. Résultat : celles qui recevaient un microbiote pro-inflammatoire développaient à leur tour des comportements similaires à ceux associés à l’autisme.
L’implication ? Le microbiote de la mère pourrait modifier le système immunitaire du bébé, influençant ainsi le développement du cerveau. C’est une hypothèse encore à affiner, mais qui ouvre des pistes passionnantes pour mieux comprendre certains mécanismes encore flous de l’autisme.
Et chez l’humain, alors ?






