Fièvre modérée, fatigue persistante, maux de tête… Qui ne s’est jamais dit en début d’automne : “C’est sûrement une petite grippe” ? C’est exactement ce qu’a pensé la famille de Lucas Martin. Et pourtant, derrière ce tableau classique se cachait une infection sérieuse. Le jeune homme, tout juste diplômé d’une université britannique, avait commencé à se sentir mal quelques jours avant son hospitalisation.
Ni lui ni ses proches ne se sont vraiment inquiétés. Après tout, le début d’année universitaire est souvent synonyme de fatigue étudiante, avec le manque de sommeil, le stress, et un rythme soutenu. Rien d’étonnant à ce que le corps accuse le coup. Mais parfois, ce « coup de fatigue » cache un véritable signal d’alarme.
Quand les signaux sont flous, le risque augmente






