Dans les souvenirs de beaucoup d’entre nous, la figue fait aussi partie des jeux d’enfance. Une promesse qu’on feignait d’accepter, un service qu’on esquivait gentiment… et hop, une figue derrière le dos, en riant.
Ce petit code amusant permettait de se taquiner sans rancune, de tester les limites ou d’inventer un langage secret. Les grands-mères, elles, y voyaient souvent un conseil tendre : « si quelqu’un t’embête, fais-lui la figue et passe ton chemin ». Une manière simple d’apprendre la distance et l’humour.
Un geste discret qui accompagnait aussi les moments difficiles
Certaines histoires familiales racontent que des personnes glissaient ce geste dans leur poche lors d’épreuves importantes, comme un rappel intime : « garde confiance, tu es plus forte que tu ne le crois ».
Ce n’était pas un signe de défi, mais un geste de réconfort, presque méditatif. Une façon de conserver près de soi un symbole familier.
Pourquoi a-t-il disparu ?






