Quand les conducteurs de plus de 70 ans devraient-ils envisager d’arrêter de conduire ?

Tourner le volant, appuyer sur les pédales, regarder dans les angles morts… La conduite demande une coordination fine. Or, l’arthrose, les douleurs articulaires ou des troubles comme la maladie de Parkinson peuvent limiter les mouvements et ralentir les réactions.

Les options utiles :
Des adaptations de véhicule existent (volant plus souple, boîte automatique…), tout comme des séances de rééducation ou de kinésithérapie pour conserver sa mobilité. Mais si les gestes deviennent vraiment difficiles, il est peut-être temps de repenser sa mobilité autrement.

Médicaments : ces effets secondaires qui brouillent les sens

Somnolence, vertiges, baisse de vigilance… Certains traitements, même courants, peuvent altérer la capacité à conduire, surtout s’ils sont associés entre eux.

Le bon réflexe :