Porté par cette vague de bienveillance, l’homme exprima un souhait : revoir son avocat. Non pas par ressentiment envers ses enfants, mais pour aligner ses dernières volontés avec ce qu’il estimait juste et apaisant. Il écrivit à chacun de ses enfants une lettre délicate, pleine d’amour, où il évoquait surtout l’importance de la présence, de l’attention, des liens qui se nourrissent au fil du temps.
Quant à ses biens matériels, il choisit de les offrir à des associations engagées auprès de personnes isolées, un geste en cohérence totale avec sa sensibilité et son histoire.
Le jour où ses enfants ont compris






