Nostradamus, c’est un peu l’ancêtre des fils de discussion anxiogènes sur les réseaux sociaux : au XVIᵉ siècle, il écrivait des quatrains poétiques, volontairement flous, que chacun interprète aujourd’hui à sa manière. On lui attribue une multitude « d’anticipations » d’événements historiques marquants, ce qui continue d’alimenter le mythe. Mais en réalité, ses textes ne sont pas des bulletins météo de l’avenir : ce sont des images et des symboles, rédigés dans une langue codée et datée. Résultat : on peut y lire presque tout… et son contraire. D’où l’importance de conserver une bonne dose de recul.
Que prévoit-il vraiment pour la fin de 2025 ?





