Le point de départ ? Une hausse progressive du coût de la vie, de l’énergie et du logement, comme tant de familles françaises peuvent l’expérimenter. Pour les parents de Maximilian, retraités au budget serré, cela s’est traduit par des charges difficiles à assumer et, après une longue période d’incertitude, par l’obligation de quitter leur logement. Malgré un dossier de demande de logement social déposé plusieurs années auparavant, aucune proposition stable ne leur avait été faite à temps.
Face à cette situation, le couple a tenté de tenir bon : quelques nuits en camping quand les tarifs le permettaient, un passage à l’hôtel… mais jamais assez longtemps pour souffler vraiment. Le reste du temps, ils ont dû se replier dans leur voiture, une solution précaire que personne n’imagine durable. Comme souvent dans ces moments délicats, la fatigue émotionnelle est vite venue renforcer l’inconfort matériel.
Chercher de l’aide locale : un parcours semé d’attentes






