Affaire Nahel : rebondissement dans l’affaire, sa famille sous le choc

Il est indiqué que le policier « n’a pas hésité à faire usage d’une arme dont il connaissait parfaitement la portée dangereuse, voire létale » et ce « à très faible distance ». Il note qu’« un tir à travers le pare-brise exposait nécessairement les parties vitales du corps de la victime, de sorte que le policier, par ce tir, ne pouvait ignorer qu’il exposait Nahel à la mort ».

Un comportement non justifié (8/10)
Il note aussi que « si l’objectif de Florian M. était exclusivement d’empêcher le conducteur de redémarrer, il lui était possible de tirer sur le capot ou les pneus du véhicule ». En revanche, le parquet a reconnu « le comportement particulièrement dangereux » de Nahel lors de la course-poursuite qui a précédé.

Un mauvais jugement (9/10)